Virginie Capizzi 4tet |
Ils en ont parlé... |
« TITYRE - Virginie Capizzi 4tet - Coup de coeur de la rédaction
Avec son quartet jazz, l’auteur-compositeur-interprète Virginie Capizzi sort un CD « bijou » baptisé Tityre. Quelle réussite ! (…) Déjà, il y a la voix de Virginie. Subtile, nuancée, virevoltante, elle s’arrache dans des scats particulièrement harmonieux. L’écriture ensuite. Virginie aime les mots et les auteurs. On y trouve beaucoup de fantaisie comme chez cette belle qui, en admiration devant les Anglais, finit par courir après un pseudo-Ecossais de Belleville. (…) Dans Défaillance poétique, on recherche « les mots-danse qui pétillent sur la langue ». (…) On trouve aussi un hommage à Apollinaire et son bestiaire avec Les Ecrevisses (…). Quant à Tityre, qui donne son nom au disque, c’est le héros stagnant d’André Gide dans Paludes. Puis la musique que diantre. Ca chante et ça swingue ! C’est beau aussi : n’est-ce pas Les Etres chers (aux amours mortes) et cette si belle mélodie pour une sœur, Lilie… » La Nouvelle République, 5 juillet 2012, par Alain Vildart « C'est le plaisir de la dissonance élégante et du mot qui fait mouche qui guident les compositions de Virginie Capizzi. Des compositions ambitieuses nourries d'influences rock et blues, pimentées d'une pincée de salsa ou d'un fond de groove, et parfaitement cuisinées par un quartet d'une grande cohésion, le « flow » de Virginie offrant une véritable dimension intrumentale. (…) une musique qui mérite amplement qu'on s'y attarde et qu'on y retourne » La Nouvelle République, 25 octobre 2009, par Catherine Simon « …Lorsqu’arrive la voix fluide de la délicate Virginie Capizzi, les abords du château sont sublimés. C’est parti pour « un voyage en première classe ». Et quelle classe ! Un enchantement qui passe par un répertoire poétique, semé de compositions personnelles, en anglais, sans parole, et même... en français. Étonnant ? « C’est grâce à elle que j’ai aimé le jazz en français justement », confie un aficionado. Aérienne, elle l’est sans aucun doute lorsqu’elle interprète sa chanson du même nom. Un diamant pur... » La Nouvelle République, 9 juin 2008, Jazz'in Cheverny, par Natacha Monhoven « ...des compositions personnelles étonnantes, amusantes et touchantes » Le Dauphiné Libéré, 3 août 2006 Jazz Songs« Le duo formé par Virginie Capizzi et Paul Anquez est une ode à la beauté du jazz, paré de ses plus beaux ornements. A la fois fluide, délicat, mélodique et talentueux, Jazz Songs est un album qui donne à redécouvrir des standards qui trouvent à nouveau une existence joyeuse dans la voix de Virginie Capizzi et le jeu de Paul Anquez. »
BSC News, janvier 2014 - article complet ci-dessous |
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« La chanteuse charismatique, Virginie Capizzi, a fait vibrer le Saint-André des arts, jeudi, au son de sa voix mélodieuse dans un répertoire jazz, accompagnée au piano par Paul Anquez. Ces artistes ont emmené le public dans leur monde musical. »
La Voix du Nord, 27 août 2012
« Cette voix s’envole, s’échappe, se glisse en harmonie, est toujours attrapée, rattrapée, filée par le jeu des notes du piano de Paul. Dans ce labyrinthe des improvisations, l’un et l’autre se perdent et se retrouvent, serpentent avec adresse et sensualité. »
L'Abeille de la Ternoise, août 2011, par Sophie Dozinel
La Voix du Nord, 27 août 2012
« Cette voix s’envole, s’échappe, se glisse en harmonie, est toujours attrapée, rattrapée, filée par le jeu des notes du piano de Paul. Dans ce labyrinthe des improvisations, l’un et l’autre se perdent et se retrouvent, serpentent avec adresse et sensualité. »
L'Abeille de la Ternoise, août 2011, par Sophie Dozinel
Drôles de Zanimaux
Prix Découverte Musique Jeune Public de l'ADAMI 2013
Coup de Coeur de l'Académie Charles Cros 2012
Sélection Meilleurs CDs Jeunesse de la Bibliothèque l'Heure Joyeuse 2013
TTT Télérama
« Le pianiste Thomas Cassis et la chanteuse Virginie Capizzi forment à eux deux une véritable ménagerie, regroupée dans ce groupe des Drôles de Zanimaux. Cette fois, la trompe de l'éléphant a disparu mais on se laisse facilement embarquer par le timbre clair de Virginie Capizzi et par son groove, digne de la véritable chanteuse de jazz, qu'elle est par ailleurs. »
Air for kids, n°59, mai 2015
« Quand Virginie Capizzi et Thomas Cassis sont dans les parages, ils ne passent pas inaperçus ! Car, avec leurs refrains imparables, leur énergie communicative et leur humour décalé, nos deux drôles de zèbres sèment la bonne humeur partout où ils passent ! Accompagnés de leurs "Drôles de Zanimaux", grand polatouche ou dindon, ils font jazzer les mots, les musiques et tout ce qui leur tombe sous la main ! »
Paris Mômes, n°92, été 2014 - par Gilles Avisse
« Quand une chanteuse de jazz à la voix exceptionnelle et un pianiste, Thomas Cassis, créent pour les enfants, cela donne Drôles de Zanimaux, un spectacle entre chansons qui swinguent et histoire rigolote. »
Télérama n°3308, juin 2013 - par Françoise Sabatier-Morel
« Qui connaît l'axolotl, le dendrobate, le grand polatouche ou le dindon ? Ces bestioles étranges sont les Drôles de Zanimaux délicieusement chantés par Virginie Capizzi, accompagnée par le pianiste Thomas Cassis. Mélodies jazz, textes bourrés d'humour, et une voix charmante pour un album à faire écouter à tous. »
Le parisien, 11 janvier 2013
« Malgré la variété des musiques et des musiciens présents dans l'univers jeune public, peu de chanteuses de jazz n'y avaient donné de la voix. Jusqu'à Drôles de Zanimaux… Revêtant les atours loufoques, elle de reporter, lui de l'inspecteur Magret, les voici partis sur les traces d'un mystérieux caïman, voleur de la trompe ultrasophistiquée de l'éléphant Victor… Et sur celles d'animaux rares ou oubliés tels que l'axolotl, le dindon ou le grand polatouche qui se reflètent dans les endroits les plus surprenants du décor et deviennent, pour la circonstance, de fringuants et swinguants refrains jazzy aux rythmes variés. Le duo, mis en scène par Fabrice Guérin, mène l'enquête avec une évidente complicité, une énergie virevoltante, une écriture humoristique et une tonique musicalité, elle, de sa voix claire et élastique, et lui, de ses inventifs arrangements pour piano. Prix Découverte Musique Jeune Talent ADAMI. »
La scène n°67, hiver 2012 - par Gilles Avisse
« Un disque délicieux ! »
France musique, émission "Open Jazz" d'Alex Dutilh, 23 octobre 2012
Coup de Coeur de l'Académie Charles Cros 2012
Sélection Meilleurs CDs Jeunesse de la Bibliothèque l'Heure Joyeuse 2013
TTT Télérama
« Le pianiste Thomas Cassis et la chanteuse Virginie Capizzi forment à eux deux une véritable ménagerie, regroupée dans ce groupe des Drôles de Zanimaux. Cette fois, la trompe de l'éléphant a disparu mais on se laisse facilement embarquer par le timbre clair de Virginie Capizzi et par son groove, digne de la véritable chanteuse de jazz, qu'elle est par ailleurs. »
Air for kids, n°59, mai 2015
« Quand Virginie Capizzi et Thomas Cassis sont dans les parages, ils ne passent pas inaperçus ! Car, avec leurs refrains imparables, leur énergie communicative et leur humour décalé, nos deux drôles de zèbres sèment la bonne humeur partout où ils passent ! Accompagnés de leurs "Drôles de Zanimaux", grand polatouche ou dindon, ils font jazzer les mots, les musiques et tout ce qui leur tombe sous la main ! »
Paris Mômes, n°92, été 2014 - par Gilles Avisse
« Quand une chanteuse de jazz à la voix exceptionnelle et un pianiste, Thomas Cassis, créent pour les enfants, cela donne Drôles de Zanimaux, un spectacle entre chansons qui swinguent et histoire rigolote. »
Télérama n°3308, juin 2013 - par Françoise Sabatier-Morel
« Qui connaît l'axolotl, le dendrobate, le grand polatouche ou le dindon ? Ces bestioles étranges sont les Drôles de Zanimaux délicieusement chantés par Virginie Capizzi, accompagnée par le pianiste Thomas Cassis. Mélodies jazz, textes bourrés d'humour, et une voix charmante pour un album à faire écouter à tous. »
Le parisien, 11 janvier 2013
« Malgré la variété des musiques et des musiciens présents dans l'univers jeune public, peu de chanteuses de jazz n'y avaient donné de la voix. Jusqu'à Drôles de Zanimaux… Revêtant les atours loufoques, elle de reporter, lui de l'inspecteur Magret, les voici partis sur les traces d'un mystérieux caïman, voleur de la trompe ultrasophistiquée de l'éléphant Victor… Et sur celles d'animaux rares ou oubliés tels que l'axolotl, le dindon ou le grand polatouche qui se reflètent dans les endroits les plus surprenants du décor et deviennent, pour la circonstance, de fringuants et swinguants refrains jazzy aux rythmes variés. Le duo, mis en scène par Fabrice Guérin, mène l'enquête avec une évidente complicité, une énergie virevoltante, une écriture humoristique et une tonique musicalité, elle, de sa voix claire et élastique, et lui, de ses inventifs arrangements pour piano. Prix Découverte Musique Jeune Talent ADAMI. »
La scène n°67, hiver 2012 - par Gilles Avisse
« Un disque délicieux ! »
France musique, émission "Open Jazz" d'Alex Dutilh, 23 octobre 2012
Origami et canetons dégourdis
Revue de presse en cours de compilation...