La Commune de 1871 en chansons
Chansons de la Commune de Paris revisitées par un trio jazz un brin déjanté
Virginie Capizzi : voix
Stéphane Tsapis : clavier/piano
Thomas Benoît : contrebasse
Virginie Capizzi : voix
Stéphane Tsapis : clavier/piano
Thomas Benoît : contrebasse
Du Temps des Cerises à Elle n'est pas morte en passant parL'Internationale, le trio revisite le répertoire des chansons communardes. Des chansons chargées d'histoire, engagées, qui évoquent les conditions de vie des "petits", les revendications et l'espoir d'une vraie République sociale, la tragique "Semaine sanglante" (21-28 mai 1871) ou qui fustigent sur un mode satirique et avec humour l'empereur Napoléon III. L'occasion de redécouvrir les textes de grands chansonniers comme Jean-Baptiste Clément ou Eugène Pottier dans des interprétations d'aujourd'hui, modernes, parfois un brin déjantées…!
Références Sunside (Paris 1er) (mai 2013) Le Maquis de Vareilles (89), à l'occasion des Journées du Patrimoine (2013) Le Gramophone (Orsay) (2013) Ville de Gentilly (94), à l'occasion du 140ème anniversaire de la Commune de Paris (2011) Ville du Kremlin-Bicêtre, à l'occasion des Journées du Patrimoine (2011) 
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Les mots d'un poète (concert au Maquis de Vareilles, 2013)
Virginie capizzi en noir et rouge- publié par desmotsensemble - Source : ici Des mots que l’on connait, Et qui nous touchent au cœur, Comme écrits à la craie, Sur l’ardoise en couleurs. Une chanteuse fragile, Et une voix qui entonne, Des refrains difficiles, Des jours tristes d’automne. Dans cette déchirure, Des hommes, femmes et enfants, Vécurent et puis moururent, Mais ils restent vivants. Et toujours cette voix, Qui nous appelle à elle, Qui nous tient et nous ploie, Et nous emmène au ciel. 
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